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Panier Vide

78p

La toile botanique n° 78
La Garance voyageuse sur le web

La Garance ne s’est pas contentée de voyager dans le monde réel et naturel, elle a aussi conquis la toile virtuelle. Voici quelques-uns des chemins de l’internet qui mènent à notre belle accrocheuse.

 

Au temps des fées et des sorcières, il y avait des miroirs magiques qui vous disaient si vous étiez la plus belle, et vous racontaient plein d’autres choses. Dans le cybermonde il y a plein de sites qui, de même, vous renvoient une image. Qui n’a pas tapé son nom dans un moteur de recherche, juste pour voir ? Est-ce que j’existe sur la toile ? Ces questions adolescentes, La Garance voyageuse se les est posées, et devant son clavier, elle est partie à la recherche de son image, des sites qui parlent d’elle, de ce que l’on dit d’elle sur la toile.
Aujourd’hui elle vous convie à cette introspection, à demi-cabotine (il y a des endroits où l’on est fier d’apparaître) à demi amusée, comme souvent, par le caractère inattendu des sites où elle arrivait. Elle en profitera pour quelques clins d’œil à des connaissances. En fait, entrer « Garance voyageuse » dans un moteur de recherche renvoie 33 500 sites en un clin d’œil, et La Garance n’a pas pu bien sûr tout visiter. Quoique accrocheuse de nature, elle s’est fatiguée au bout de 700 visites, dont voici une sélection.
Vous comprendrez qu’apparaisse en premier LE site [1], celui de La Garance voyageuse évidemment. Celui-ci vous rappelle que La Garance n’est pas qu’une revue, mais aussi une association, qui s’implique fortement dans la défense du monde végétal en France et dans le monde ; que La Garance ne vit que par le travail des bénévoles et des trois salariés : Agnès, Mathieu et Philippe ; que comme toutes les associations La Garance a besoin d’un renouvellement de ses bénévoles, d’enthousiasmes nouveaux. Bref, si cela n’est pas un clin d’œil assez clair… on a besoin de vous !
Comme elle tient à ses racines, La Garance vous invite ensuite à découvrir des sites « cévenols » comme [2] où Philippe Jestin fait une belle présentation de la flore de la région, ou Calbertix [3] où vous trouverez La Garance au chapitre des activités culturelles. Depuis ses Cévennes La Garance a conquis un large public, comme en témoigne la variété des sites où La Garance est mentionnée dans les liens : depuis la Société Botanique de France [4] jusqu’à une association naturaliste finistérienne [5], du site des journalistes-écrivains pour la nature et l’écologie fondé en 1969 par P. Pellerin [6] à celui de France Nature Environnement [7], une fédération d’associations de protection de la Nature dont La Garance est membre, depuis le site du groupe d’écologie politique, Brest-ouvert [8] jusqu’à celui de la bibliothèque du Jardin Botanique de Montréal [9] ou encore celui d’une entreprise spécialisée dans le nettoyage écologique [10] (désolé, les sites qui nous ont en lien ne peuvent pas être tous cités !)
La Garance est appréciée pour le sérieux et le niveau scientifique de ses articles et, par exemple la Cité des Sciences la cite plusieurs fois comme ressource documentaire [11]. Des pages de La Garance se retrouvent dans des polycopiés d’université [12], des mallettes pédagogiques [13], servent de référence pour un site d’information sur les OGM [14], ou font l’objet d’analyses fort élogieuses [15]. Bien sûr les prises de positions, qui sont celles des auteurs, pas nécessairement celle de la revue, rappelons-le, suscitent des réactions [16] et des discussions [17] intéressantes.
La Garance c’est aussi des gens et des engagements militants. Alors saluons au passage, d’un clic de souris, les sites de deux collaboratrices, Hélène Griset [18] et Christine Achard [19], celui de Tela Botanica [20], dont La Garance est membre fondateur, mais aussi celui des Amis de la terre avec lesquels La Garance a plaidé pour la sauvegarde du Moabi [21], ou de l’association Tulipes sauvages [22] avec laquelle La Garance a œuvré pour la sauvegarde de tulipes sauvages dans les Bouches-du-Rhône.
Bien sûr à la requête « Garance voyageuse » les moteurs de recherche renvoient plusieurs sites parlant de la cousine de la revue, la Rubia peregrina, dont on trouvera une très belle photo en [23]. Mais ils indiquent aussi des sites dédiés à des Garances plus inattendues (le prénom est en plein essor !). Saluons donc Garance Sidonie Joséphine C., née le 2 février 2006 à 12 h 15 et qui a inspiré un drôle de cyber-poème [24], mais aussi ce site dédié au vin de Suisse romane [25], ou cet autre où La Garance se trouve plongée dans le monde trouble du polar [26].

Texte : Marc PHILIPPE
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